Marie-Françoise Hamard

hamard


Conseillère municipale déléguée aux animaux dans la ville

Conseillère eurométropolitaine

Marie-Françoise en quelques mots

Diplomate retraitée et Doyenne du conseil municipal

Engagée dans la défense de la cause animale depuis bientôt un demi siècle

Candidate à Strasbourg du jeune Parti Animaliste aux élections législatives de 2017

Grande amoureuse des langues, à commencer par le bon et beau français !

Adore l’odeur des buis et des livres neufs, la musique baroque, l’Europe orientale, les chapeaux, les ânes, la crème de marron et la lumière du couchant sur la Loire.

Pourquoi s'est-elle engagée ?

Parce que politiser la cause des animaux est l’unique moyen de la faire avancer dans un pays où elle demeure marginale, voire absente, des préoccupations des pouvoirs publics
Parce que j’ambitionne de faire de Strasbourg, en six ans, une ville d’engagement exemplaire en faveur des animaux : apprendre à cohabiter avec la faune sauvage urbaine, bien soigner nos animaux domestiques, aider les Strasbourgeois et les Strasbourgeoises, en particulier les enfants, à adopter des comportements respectueux vis à vis des animaux et abandonner les méthodes curatives au profit d’actions préventives pour les espèces susceptibles d’occasionner des dégâts (ESOD).

Une petite bio

Native des bords de Loire, Strasbourgeoise d’adoption depuis 12 ans, j’ai poursuivi, après les classes prépa, des études de lettres classiques à la Sorbonne. J’ai ensuite intégré l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales, qu’on appelait à l’époque l’ENLOV (Ecole Nationale des Langues Orientales Vivantes) dont je suis diplômée en russe et en polonais. Puis l’ISP section relations internationales.
Après de brèves années d’enseignement en région parisienne et 10 ans à la Mairie de Paris, j’ai rejoint le Ministère des Affaires Etrangères : URSS, Proche Orient, Pologne, Balkans, Pacifique Sud… 35 années un peu partout sur la planète… pendant lesquelles j’ai adapté mon militantisme pour la cause animale aux situations locales de mes divers pays de résidence.
Replonger, après 12 ans de retraite, dans la vie (très) active d’un mandat exigeant car tout nouveau est un grand bonheur, qui me permet de nouer d’enrichissantes relations et de retrouver une vraie jeunesse ! C’est formidable !